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Dans un contexte de marché immobilier en ralentissement et de ventes annuelles en baisse, trouver des solutions pour maintenir une activité florissante est essentiel. C'est là qu'intervient Interkab, la plus grande communauté d'agents immobiliers indépendants en France, qui favorise la collaboration entre ses membres pour décupler les opportunités professionnelles.
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Le marché immobilier en France est confronté à des défis majeurs en 2023. Une brusque hausse des taux d'intérêt et une baisse significative de la production de crédit ont bouleversé l'industrie. Selon les prévisions de Meilleurs Agents lors de sa conférence de rentrée, cette tendance n'est pas prête de s'inverser pour 2024.
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Selon la dernière étude de LaForêt, le marché locatif semble être sur le point de se bloquer. La demande augmente alors que l'offre diminue, ce qui crée une situation potentiellement inextricable. LaForêt met en garde en affirmant que le marché locatif est au bord de la saturation. Ce constat n'est pas surprenant étant donné que la demande a augmenté de 20%, tandis que l'offre a diminué dans la même proportion, selon le réseau d'agences immobilières. L'analyse de la situation est relativement simple. D'un côté, les locataires se retrouvent dans l'incapacité d'accéder à la propriété : "Empêchés d'accéder à la propriété, les locataires prolongent leur occupation des logements, entraînant une augmentation de la durée d'occupation." De l'autre côté, les propriétaires sont de moins en moins enclins à louer leurs biens : "Les investisseurs se montrent plus réticents en raison des critères d'accès au crédit imposés par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), ainsi que des règles d'encadrement des loyers et d'un calendrier de rénovation énergétique difficilement tenable." Selon LaForêt, le volume des transactions immobilières a enregistré une baisse de 14% entre le premier semestre 2022 et le premier semestre 2023, comme le rapporte leur note. De plus, les délais de vente se sont allongés à l'échelle nationale, atteignant 88 jours, ce qui représente une augmentation de 8 jours en un an. LaForêt analyse cet accroissement comme étant le résultat d'un changement de comportement des acheteurs, qui font preuve d'une plus grande prudence. Ils prennent davantage de temps pour comparer, évaluer leurs finances et s'assurer que leur dossier de financement est solide avant de s'engager dans une transaction immobilière. Yann Jéhanno, président du réseau LaForêt, recommande des mesures pour sortir de cette situation. Il souligne l'importance de prendre en compte les problèmes structurels du logement en France, en favorisant une rénovation énergétique réaliste et mieux financée. Selon lui, l'État devrait également soutenir les investisseurs dans le parc locatif privé afin de répondre à une demande croissante. En outre, il estime qu'il faudrait décentraliser davantage le pays pour redonner de l'attractivité aux régions. Cette démarche serait "plus que jamais nécessaire pour désengorger les grandes agglomérations et permettre à chacun de vivre là où il le désire, dans les meilleures conditions possibles". Ces mesures combinées pourraient contribuer à sortir de l'impasse actuelle sur le marché immobilier. Source : bfmtv.com
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Après près de 6 mois d'activité, la situation du marché immobilier confirme un état de stagnation. Les acheteurs font face à des difficultés croissantes pour obtenir un crédit et leur capacité d'emprunt diminue, ce qui entraîne une hausse des taux d'intérêt et des prix qui tardent à baisser. De leur côté, les vendeurs restent fermement attachés à leurs prix de vente et tardent à reconnaître la réalité du marché. Dans ce contexte, 70% des acheteurs préfèrent adopter une attitude attentiste et reporter leur projet immobilier. Ils choisissent plutôt une stratégie qui consiste à attendre une baisse des prix ou des taux d'intérêt à moyen terme, plutôt que de réviser leurs critères d'achat à la baisse. Cette situation entraîne une diminution du nombre d'acheteurs et il est probable que le volume global des transactions soit également en recul par rapport à 2022. Il est important de noter que malgré tout, 30% des personnes ayant des projets immobiliers sont disposées à revoir leurs critères. Certains élargissent leur zone de recherche en termes de localisation (20%), tandis que d'autres sont prêts à réduire la surface du bien (10%). En ce qui concerne le financement, il est observé que dans 46% des cas, les transactions conclues ce trimestre se font avec un apport minimum de 50%, selon les informations recueillies auprès des agents immobiliers indépendants. Ainsi, un profil type de l'acheteur en 2023 se dessine : des personnes ayant des projets immobiliers qui ont potentiellement constitué des réserves d'épargne, notamment pendant la période de la Covid-19. Les Français sont de gros épargnants et pour pallier à l’augmentation des taux, les acheteurs ont recours à leur liquidité, l’immobilier jouant à plein son rôle de valeur refuge.  La demande ne cesse d'augmenter, mais les prix ne connaissent toujours pas de baisse significative. Certaines grandes villes maintiennent même une tendance à la hausse : +2,4 % à Lille, +1,5 % à Marseille, +1,3 % à Montpellier et +1,2 % à Strasbourg. Au niveau national, les professionnels du marché enregistrent une quasi-stagnation (+1,1%) par rapport à notre baromètre du 1er trimestre, malgré des conditions d'accès au crédit difficiles et pénalisantes. Le marché immobilier est donc confronté à un blocage inévitable si les vendeurs continuent de refuser de baisser leurs prix de vente. Cependant, une note positive se dégage du côté des agents immobiliers indépendants, qui déclarent qu'un vendeur sur deux serait désormais prêt à revoir son prix à la baisse (+7 points par rapport à avril 2023). Les délais de vente explosent partout en France L'effet direct d'un "marché favorable aux acheteurs" se traduit par une considérable augmentation des délais de vente au cours du deuxième trimestre 2023, qui ont tout simplement doublé, passant de 24 à 56 jours (entre la prise de mandat et la signature du compromis). Les délais de signature de compromis continuent d'augmenter et dépassent largement les deux mois. Des villes telles que Toulouse et Rennes atteignent même des records avec des augmentations respectives de 60% et 72% en seulement un trimestre. Bien que cet indicateur se dégrade nettement par rapport au premier trimestre, les délais restent dans la norme. "Les marchés tendus ne le sont plus vraiment, les acheteurs, en plus d'être moins nombreux, ne se précipitent plus et sont devenus de plus en plus exigeants", ajoute le PDG de La Boîte Immo. Le stock de biens à la vente augmente sur l’ensemble du territoire En tout logique, après un premier trimestre marqué par une forte tendance à la reconstitution des stocks et des délais de signature de compromis qui explosent, c’est sans surprise que l’on constate sur le 2ème trimestre une forte hausse du niveau des stocks avec près de 261 000 annonces de vente sur le parc La Boîte Immo. Sur la vente, on observe une croissance du stock de +65% vs T1. Le nombre moyen d’annonces par agence a été multiplié par 2,5. Parmi les 4 bassins observés, la plus grande augmentation du stock est en région Auvergne-Rhône-Alpes. La marge de négociation reste faible La marge de négociation, autrement dit la différence observée entre le prix de vente affiché sur l’annonce et le prix de la vente actée chez le notaire, reste autour des 5 points au deuxième trimestre. On constate une nouvelle fois que les vendeurs ne sont pas prêts à accepter des offres trop en dessous du prix de vente fixé. Le DPE : un rôle clé dans la réussite d’une vente Au premier trimestre, 8 indépendants interrogés sur 10 conseillaient en priorité aux vendeurs de baisser le prix de vente des biens avec DPE défavorables. Il semblerait que les propriétaires n’aient pas entendu ou écouté le conseil, puisqu’en juin 2023 80% des agents indépendants constatent que les délais de signature de compromis s’allongent pour l’achat ce type de biens. Ils ont bondi de + 35 jours par rapport au premier trimestre, passant à 59 jours (de la prise de mandat à la signature du compromis). Ces délais sont aussi supérieurs à la moyenne des biens “classiques” (56 jours).  Les prix stagnent (+0,7%) et les négociations sont identiques au premier trimestre avec en moyenne 7% de différence entre le prix de vente affiché et le prix de vente acté (+2 points vs les biens “classiques”). Preuve encore que les vendeurs, même sur la catégorie de biens avec un DPE défavorables, ne souhaitent pas baisser leurs prix. Source : My Sweet Immo
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Si vous êtes propriétaires d’un ou plusieurs logements, vous êtes soumis à une nouvelle obligation déclarative de vos biens immobiliers à usage d’habitation. Vous avez jusqu’au 30 juin inclus pour effectuer cette déclaration, sans quoi une amende d’un montant de 150 euros pourra vous être appliquée. Qui concerne cette nouvelle déclaration L’objectif de cette déclaration est de déterminer précisément les propriétaires encore redevables de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires ou de la taxe sur les logements vacants. Cette déclaration concerne tous les propriétaires, particuliers et professionnels de biens immobiliers à usage d’habitation, et notamment : - Les propriétaires indivis - Les usufruitiers - Les sociétés civiles immobilières (SCI) Ces derniers doivent indiquer à quel titre ils occupent chacun de leur logement. Dans le cas où ils ne sont pas les occupants du bien, ils sont tenus de renseigner l’identité des occupants et la période d’occupation. Comment déclarer ses biens immobiliers ? Pour effectuer la déclaration, il suffit de vous rendre sur le site « impots.gouv.fr », de vous connecter à votre espace personnel avec votre numéro fiscal et votre mot de passe. Il faudra ensuite aller dans votre espace « gérer mes biens immobiliers ». Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d’occupation connues des services des impôts seront pré-affichées. Par la suite, seul un changement de situation nécessitera une déclaration. Dans le cas où vous n’étiez pas le propriétaire du bien au 1er janvier 2023, c’est à l’ancien propriétaire de réaliser la déclaration d’occupation, et ce avant le 30 juin 2023. Source : mysweetimmo.com
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Qu’est-ce qu’une SCI ? Une SCI (Société civile immobilière) est composée au minimum de 2 associés. Il s’agit de la forme juridique idéale si vous souhaitez acquérir et gérer des biens immobiliers. A quoi sert la SCI ? Quels sont ses avantages de la SCI ? La SCI offre de nombreux avantages aux associés : - Protection du patrimoine des associés : En cas de difficultés financières, les créanciers doivent se retourner contre la société pour les dettes de la SCI. Seules les parts sociales peuvent être saisies par les créanciers pour rembourser les dettes de la SCI. - Transmission simplifiée : Monter une SCI permet de faciliter la transmission d'un patrimoine immobilier. Lorsque la succession n’est pas organisée, les héritiers possèdent le bien immobilier sans que leurs parts soient divisées et chaque indivisaire peut mettre fin à l’indivision. La constitution d’une SCI confère aux héritiers des parts sociales qu’ils peuvent vendre. La SCI donne également la possibilité aux parents de la transmission d'un patrimoine immobilier à leurs enfants tout en conservant la gestion du bien. - Imposition : Le régime fiscal de la SCI est par défaut assujetti à l’impôt sur le revenu et est dite « transparente ». - Flexibilité : La SCI est plutôt flexible. Les associés peuvent aménager assez librement les statuts. - Cession des parts : L’associé d’une SCI peut céder ses parts sociales. La cession des parts de la SCI doit être constatée par écrit et requiert l’accord de tous les associés. - Partage des coûts : Les charges locatives ainsi que les frais inhérents à la possession d’un ou plusieurs biens seront divisés entre les associés. Malgré ces nombreux avantages, la SCI regroupe également quelques inconvénients. En effet, la SCI peut être complexe au niveau de l’accomplissement des démarches administratives et juridiques ainsi qu’au niveau de l’élaboration des statuts. Ensuite, la SCI incombe une assemblée générale annuelle et une gestion comptable obligatoire.
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Doit-on encore imprimer une version papier des mandats et registres ? A l’heure de la dématérialisation, cette question taraude nombre d’agents immobiliers et de professionnels qui tiennent leur registre sous forme électronique et signent leurs mandats et autres actes grâce à la signature électronique. Voici ce qu’il faut savoir pour y voir clair.